Intoxication : l'écriture sous stupéfiants
«De Quincey et l'opium, Baudelaire et le haschisch, Burroughs et le speed, Huxley et la mescaline... Il y a une relation particulière entre les écrivains et les drogues. L'écriture sous stimulation de drogues n'est pas un genre défunt, figé dans le temps, mais plutôt une influence porteuse d'épanouissement sur des auteurs qui écrivent aujourd'hui. Au bout du compte, on voit clairement que l'écriture sous stupéfiants n'est pas un thème greffé sur la prose en vue de séduire une génération chimique, mais une façon de voir, une façon de fixer et de relater les expériences, d'explorer l'imagination libérée des entraves de la censure.»
Toni Davidson
15 nouvelles inédites présentées par Toni Davidson
Traduites de l'anglais par Alain Defossé, Daniel Lemoine, Nicolas Richard et Maryvonne Ssossé
Signé par les plus créatifs des auteurs anglais d'aujourd'hui, ce recueil illustre les liens entre contreculture, paranoïa et hédonisme chez ceux que l'on a qualifiés de chemical generation.